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Rien ne va plus ! [28/04/2011]

Désormais le Stade Tunisien n'arrive plus à relever la tête. Les difficultés s'enchainent sans qu'il n'y ait la moindre solution voire réponse, ponctuelle soit-elle !

Après la démission de M. Dérouiche et la décision d'organiser une assemblée générale extraordinaire afin d'élire un nouveau bureau directeur, aucune candidature à la présidence n'a été reçue. Peut-être les rumeurs concernant les dettes qui s'éléveraient à 700MD font faire réfléchir plus d'un avant de se lancer dans l'aventure surtout en ces temps difficile. Selon les réglements, on se dirige vers le report de l'AG.

D'autre part, les joueurs qui n'ont pas reçu leur salaire depuis plus de trois moins sont en grève reconductible depuis cet après-midi et jusqu'à paiement de leur dû.

Espérons que les plus aisés du ST viennent au secours de leur équipe surtout que les joueurs n'ont pas démérité lors des deux derniers matchs et ont réussi à avoir 4 points sur 6 possible.


Le ST renoue avec la victoire [24/04/2011]

Stade Bouali Lahouar de Hammam-Sousse. Public peu nombreux. Victoire du ST par 1 à 0.

ST : Rami Jéridi, Amir Hadj Messoud, Aymen Ayari, Bilel Yaken, Hamza Zakkar, Brahima Bâ, Marcial Kouassi, Iheb Msakni, Mohamed Charni (Akram Mâatoug 58' ), Marouène Tej, Mohamed Selliti

ESHS : Hamdi Bayoudh, Waël Bahri, M.Amine Ben Ismail, Aymen Naji, Heythem Ghédifi, Skander Majboura, Msaddek Hasnaoui, Aymen Ben Fadhel (Rochdi Jarboui 76' ), Radhouène Jawhari (Abdelmajid Ben Belgacem 71' ), Walid Dahari (Fakher Mansouri 46' ), Bilel Bachouch.

Après une reprise un peu difficile, les stadistes ont réussi à renouer avec la victoire même si la manière n'y était pas.

Une première mi-temps indigeste, hachurée avec beaucoup d'arrêt de jeu. Pratiquement une seule occasion stadiste suite à un coup-franc tiré par Yaken à la 30mn.

Le rendement en seconde mi-temps s'est un peu amélioré mais reste en dessous de la moyenne. Selliti a pesé sur la défense adverse malgré qu'il était la plupart du temps isolé. Le chemin des filets a été retrouvé par Iheb Msakni qui en se faufilant dans la defense adverse provoque un pénalty qui la transforme à la 73mn. Les stadistes, une fois le difficile fait, ont su gérer la fin du match et préserver trois points précieux leur permettant de ne pas se détacher des quatre premiers.


Reprise difficile [17/04/2011]

Stade de Radès.
Public peu nombreux.

ST : Jridi, Haj Massoud, Zakkar, Yaken, Ba, Kouassi, Msekni, Maatoug, Tej, Cherni.

Après plus de trois mois d'arrêt, le championnat reprend. Les stadistes sont apparus en forme et n'ont pas trop attendu pour entrer au vif du sujet. Ils ont crée pas moins de deux occasions nettes lors des trente premières minutes mais malheureusement non conclues. A la 37mn, encore une occasion qui cette fois-ci trouve le poteau. La domination stadiste n'a guerre apporté ces fruits et la mi-temps se termine par un score de parité zéro partout.

Dès la reprise et à la 7mn les stadistes se font surprendre et concèdent un but sur la première occasion kairouanaise. 3mn plus tard, Msekni transforme un pénalty obtenu par ses soins et remet le score à une égalité 1 partout. Les stadistes dominent le match mais n'arrivent pas à prendre le dessus encore une fois Selliti tire sur le poteau mais n'arrive pas à trouver les filets. Le match se termine par un score de parité qui ne fait pas l'affaire des stadistes qui se voient distancé par les sfaxiens.

A noter que la reprise n'a pas été sans incident, à sfax, il y a eu envahissement de terrain et à Béjà pareil et le match a même été arrêté. Nous attendons la décision des instances quant à la suite à donner suite à ces événements...


Assemblée générale extraordinaire [03/04/2011]
Après moult tractations et des turbulences qui ont émaillés les semaines précédentes le comité directeur du Stade Tunisien, la décision a été prise d'appeler à la tenue d'une assemblée générale extraordinaire et ce le vendredi 29 avril 2011. Il s'agit d'élire un nouveau président afin de calmer les esprits. En effet après la révolution du 14 janvier, l'actuel président était contesté par une frange du public. Ce dernier a choisi en fin de compte de céder sa place pour que l'équipe puisse travailler dans un climat serein. Espérons que ceci donnera des ailes aux siens pour aller vers l'avant.


Hébi Braïek l'athlète complet [14/02/2011]

Il a constitué avec Diwa le premier grand tandem du foot-ball tunisien après l'indépendance. Sa rapidité et sa vélocité faisaient de lui l'une des attractions de la compétition. Hédi Braïek a été d'abord un athlète impressionnant puis un footballeur efficace et enfin un véritable gentleman.

Né le 27 novembre 1926 à Tunis, Hédi Braïek connaît une enfance paisible dominée par le football du côté de Franceville (El Omrane actuellement). Il montre des aptitudes évidentes et une vélocité physique qui l'orientent rapidement vers le club Ennajah Sport (futur COT). Là il poursuit son apprentissage en compagnie de Ali Miloud. Leur tandem permet à cette équipe de par son jeu plaisant et efficace. Hédi Braïek est heureux de constater qu'il est l'olbjet d'une admiration et d'une sollicitude particulière. Il en déduit que le football doit constituer son tremplin pour explorer la vie. Parallèlement, il constate que son ambition dépasse celle de son club. Il profite alors de l'intérêt manifesté à son égard par l'Espérance Sportive pour opérer sa première mutation sportive avec l'idée de se stabiliser chez le club de Bab Souika. L'effectif sang et or l'impressionne avec ses Laroussi, Klibi, Draoua etc. Mais la suprématie du grand CSHL l'empêche de viser haut. Les places d'honneur deviennent l'unique enjeu pour l'Espérance et les autres équipes.

Hédi Brdiek n'accepte pas le fait établi, se fait une autre philosophie de la vie et profite de l’interruption de la compétition suite aux événements de janvier 1952 pour émigrer en France. Il tente une expérience professionnelle entre Cannes et Rouen sans parvenir à s'imposer réellement. Deux ans après, il effectue un crochet par l'Allemagne qui ne le servira pas particulièrement sur le plan sportif.

En 1955, il se résout à retourner au pays. Théoriquement, c'est l'Espérance qui doit récupérer son joueur. Au contraire. Hédi Braïek tombe dans l'escarcelle de Dr Ben Salem, président du ST, qui lui garantit un emploi stable dans la Santé Publique. S'il est déjà conscient de la dette envers son nouveau club et ses dirigeants, Hédi Braïek est convaincu que l'estime des hommes est une valeur plus sûre que l'argent. Le challenge sportif l'excite alors au plus haut point d'autant que le ST, le nouveau venu en Nationale, affiche des ambitions évidentes. Le joueur peut s'appuyer également sur des joueurs de valeur et qui partagent avec lui certaines similitudes : Miloud venu d'Ennajah et Diwa qui a débuté à l'Espérance, un cocktail qui promet. Le 9 octobre 1955, Hédi Braïek affronte sa première situation délicate : face à lui, l'Espérance et ses anciens équipiers. Klibi et Feddou. Il laisse toute considération le côté et ouvre le score dès la première minute. Ce ne sera pas suffisant pour l'emporter. Le nul satisfait le joueur qui connaîtra le plaisir de la victoire au match retour (2-1). Mais le ST ne termine l'exercice qu'à une inconfortable 7ème place.

En revanche, la Coupe de Tunisie convient mieux au tempérament de cette équipe trouble-fêtes. En finale, le ST affronte dans une décontraction déconcertante un CA aux dents longues mais le tandem Braïek-Diwa fait la différence au terme d'une belle démonstration de football. Hédi Braïek constate avec bonheur cette accélération des événements tout en prenant conscience des nouvelles responsabilités qui lui incombent. Sa convocation à l'occasion de la constitution de la première sélection tunisienne, deux jours avant l'indépendance est déjà un signe avant-coureur de réussite. Le 1er janvier 1957, les deux héros de la finale de la coupe seront des artisans du large succès de l'Equipe de Tunisie face à l'Admira de Vienne, en réalisant chacun un doublé (4-1). A l'évidence, le tandem se dirige vers de très belles consécrations. Le titre de champion en 1956-57 récompense tout le ST et notamment ses deux attaquants de marque. Hédi Braïek entend fêter doublement ce sacre à l'occasion des jeux Panarabes à Beyrouth. Mais il ne participe pas aux deux premiers matches face à la Libye (4-3) et à l'Irak (4-2). Son impatience le dessert face au Maroc de Ben Barek (1-3). S'il se confirme au poste, il n'inscrit pas pour autant le moindre but face au Liban (4-2) ou la Syrie (1-3). L'expédition lui permet néanmoins de vivre une semaine très intense et de mesurer les exigences d'un tournoi. La saison 1957-58 accueille un Braïek auréolé par ses galons d'international continué. Mais les prestations du ST n'en seront pas meilleures, l'inconstance de l'équipe ayant ressurgi. Seule la Coupe peut à nouveau sauver la saison. Braïek s'y met et exerce en finale une pression soutenue qui profite à Diwa auteur d'un doublé face à l'Etoile.
Hédi Braïek savoure ce succès et espère l'étendre à l'Equipe de Tunisie mais le camouflet infligé par le FLN (5-1), le 3 mai 1958, lui montre le chemin qui reste à parcourir. La remise en question l'empêchera de trouver la bonne formule l'obligeant à vivre en 1958-59 sa première saison blanche. Il jette alors son dévolu sur les éliminatoires des JO de Rome. La concurrence est très serrée depuis que Salah Néji s'est mêlé au groupe. Braïek disputera néanmoins le troisième match face à Malte, inscrivant le but de la sécurité (2-0). Kristic renouvelle sa confiance à l'attaquant stadiste face au Maroc à Casa (l-3) puis à Khartoum devant le Soudan (0-1). Le joueur est flatté mais redoute l'Egypte transcendée par son leadership africain. Le 19 février 1960, Hédi Braïek est impressionné par l'héroïsme de Ayachi qui dure une mi-temps et par le rouleau compresseur de Pharaons vainqueurs à l'usure (1-3). Il n'est pas loin de penser que l'absence de son compère Diwa a lourdement affecté l'équipe. Trois semaines plus tard, il est à son tour éliminé au profit de Néji lors de Tunisie-Egypte. Braïek est triplement déçu car, outre son éviction, ce sont l'abandon de Diwa après une méchante blessure d'entrée de jeu puis le nul concédé (0-0) qui lui font mal. Mais en aucune manière il ne s'attend à une retraite internationale, se sentant encore capable d'apporter une certaine valeur ajoutée. Hédi Braïek ne peut alors que prendre acte des choix de Kristic lequel préfère la carte de la jeunesse en prévision des Jeux Olympiques. Après lui, ce sera le tour de Majeri, Farzit et Saad d'être évincés, ce qui apaisera sa déception par le mécanisme providentiel de la comparaison.
Le Stade Tunisien devient alors le seul centre d'intérêt de Hédi Braïek. La finale de la Coupe le stimule au plus haut degré puisque d'autres adversaires figurent dans son esprit. En inscrivant un but à l'Etoile, il prend une revanche symbolique et remporte sa troisième coupe en autant de finales. Hédi Braïek ne se laisse pas aller à un excès de jubilation se contentant d'une satisfaction personnelle afin de ne pas traîner un autre mauvais souvenir. En suivant les débâcles consommés par ses camarades de la sélection lors de la préparation puis au tournoi olympique, il n'est pas loin de les expliquer par les incohérences de la gestion technique et de l'intendance.

L'épisode l'affecte et lui ôte une forte proportion de son enthousiasme. Il s'expatrie à nouveau en Allemagne et concilie entre le football et un emploi ponctuel durant environ deux ans, histoire de rester encore dans le football malgré le poids de l'âge (trente-six ans). Hédi Braiek aura ainsi réalisé une longévité sportive qui témoigne sans doute d'une volonté évidente et d'aptitudes physiques impressionnantes. Moncef Chérif qui a eu à le côtoyer durant environ trois saisons parlera de lui avec émerveillement et nostalgie le qualifiant même d'athlète complet. Quant à ses adversaires, ils ne tarissent pas d'éloges sur ses dons d'attaquant très rapide et efficace. La paire Diwa-Braïek résonne encore très fort chez les témoins de la décennie 1950 - 60, symbolisant même une certaine suprématie et surtout une garantie de spectacle.

Depuis, Hédi Braiek, qui s'est mis à l'abri du besoin matériel, suit l'évolution du football tunisien tantôt admirateur, tantôt réservé. Nul doute que les événements qui se sont déroulés ont produit chez lui beaucoup d'effet et une nostalgie certaine.

Guide – foot 2010-2011
Pages 14-15


ASG-ST : 3-0, un match à oublier [09/01/2011]

Stade de Gabès. Arbitrage : F. Bahri.

ASG : Thameri, Hakim, Abdelli, Zrelli, Boucherbia, Sakho, Naoues, Cherni, Orok, Laouini, Aouichaoui.

ST : Jeridi, Hadj Massoud, Tej, Zakkar (Sebri), Hosni, Dambia (Tozeri), Bâ, Mosrati, Msakni, Mâatoug, Ben Ouanès.

Buts de Cherni (18’), Hakim (46’) et Aouichaoui (83’).

Le ST s'est fait infligé une correction par un score sans appel de trois buts à zéro face à l'ASG. Certes la rencontre s'est déroulé sur un pâturage et pas un terrain de foot mais ceci n'est en aucun une excuse. Les stadistes sont parus déconcentrés tout au long du match. Dès la 18mn, une balle sans danger se concrétise par un but gag suite à une erreur monumentale de Hadj Massoud qui voulant faire une passe de la tête à son gardien, la donne à Cherni qui sans difficulté ouvre le score. Les satdistes ont essayé d'égaliser mais en vain les rares occasions crées furent ratées toutes.

S'attendant à un retour en force lors de la seconde mi-temps afin de renverser la vapeur, hélas, dès la première minute sur un centre anodin Tej voulant dégager la balle, cette dernière touche la main d'un attaquant Gabèsois et se loge dans les filets. L'arbitre valide le but sans se poser des questions ! La partie devient plus compliquée à gérer et les joueurs ont eu le moral dans les chaussettes. Seules deux occasions ont été crées : la première par Ben Ouanès qui rate son tir à la 63mn, la seconde par Ba qui voit son tir dévié difficilement par le gardien adverse. Et pour en finir avec les bourdes, suite à un centrage, Jridi se troue et Aouichaoui triple la mise.

Un match à oublier...

Rami Jridi, Hadj Maasoud et tutti quanti


OB-ST : 1-1 [26/12/2010]

Stade Boujemâa Lekmiti de Béja.
Public moyen. Temps froid.

ST : Rami Jridi, Amir Hadj Massoud (73" Hamdi Jabnoun), Aymen Ayari (46" Akram Maâtouk), Bilel Sebri, Hamza Zakar, Brahima Ba, Iheb Msakni, Majdi Mosrati, Marouane Tej, Obin Kwako, Radhouane Ben Ouanès (89" Mohamed Ben Ammar).

OB : Kais Amdouni, Akrem Ben Sassi, Ali Hammami, Bassem Saibi, Brahima Camara, Hamdi Abdi, Mohamed Ouazzani (55" Khalil Jlassi), Saber Mhamedi, Rodrigo, Hammouda Maâmri, Nabil Missaoui.

Buts :
- 1" :  Rodrigo.
- 30" : Amir Hadj Massoud.


ST bat l'ESS, un match sensationnel [20/12/2010]

Stade olympique d'El Menzah, public moyen.
Arbitrage : Slim Jdidi.

ST : Jeridi, Yaken (Jabnoun 73'), Ayari, Zakkar, Sebri, Auban, Brahima, Tej, Msakni (Doumbia 87'), Mosrati, Ben Ouannès (Ben Ammar 78').
ESS : Bouderbala, Chagra, Abdennour, Ghezal, Boulaâbi, Nafkha, Danilo, Bellakhal (Osanga 46'), Chedly, I. Jebali (Santos 46'), Akaïchi (Jaziri 66').

Une victoire éclatante

Le Stade Tunisien a remporté une victoire sur un score sans appel face au deuxième du championnat, 3 buts à 1. Quatre jours après une défaite amère face aux Clubistes de Tunis, la question était, dans quel état d’esprit, les Stadistes allaient-ils aborder cette rencontre cruciale.
Le staff a « chamboulé » l'équipe rentrante, un choix qui s’est avéré payant et judicieux. En effet, durant les quarante-cinq premières minutes les Stadistes ont maitrisé le jeu de bout en bout. Dès la 11ème minute, Ben Ouannès d'un retourné acrobatique ouvre le score. Au lieu de se recroqueviller devant leur cage pour défendre leur maigre avance, presque comme de coutume, les Stadistes ont continué à faire le jeu, à attaquer sans relâche. Certes, leurs efforts ne furent pas couronnés d’un succès immédiat. Pire, à la 45mn, ils se font surprendre et concèdent un pénalty douteux suite à une faute peu évidente de Sebri. Alors que l’on s’acheminait vers la fin de la première période sur un score de parité, les protégés de Patrick Liewig surprennent leur monde et doublent la mise suite à une attaque magistrale conduite par l'homme du match Iheb Msekni.

Ce même joueur, 5 minutes à peine après la reprise, effectue une percée sur le côté gauche, drible vers la droite pour se mettre face à la cage, et d'un tir puissant, ne laisse aucune chance au gardien adverse, triplant de la sorte le score pour les Stadistes. Quelques minutes plus tard, un tir de Ben Ouannès heurte violemment le montant droit avant que la balle n'échoue devant Msakni qui voit sa tentative repoussée en corner par un défenseur. Après cette occasion, les coéquipiers de Rami Jridi, auteur de quelques arrêts de classe, opèrent un repli vigilant dans leur zone, laissant l’initiative à l’adversaire du jour, jusqu’au coup de sifflet final de l’arbitre.

Un résultat probant, bon pour le moral et un match plein, de référence pour cette saison : Le rendement des joueurs titillait l’excellence par moment. L’équipe dégage sérénité, maîtrise et application tout au long de la rencontre même lors de rares moments critiques. C’est bon pour le moral, c’est prometteur pour les prochains matchs.

Une mention spéciale à Iheb Msakni, passeur et buteur, son meilleur match avec l’équipe fanion indéniablement– est-ce le nouveau Farid Belhoula ? –, à Ben Ouannès à l’efficacité retrouvée et à Rami Jridi pour ses arrêts décisifs.

L’ensemble de l’équipe mais aussi le Staff sont à féliciter
Le public présent aussi est digne de tous les éloges.

L'équipe de ST.NET


Coupe de Tunisie - Le ST assure le nécessaire face à l'ESZ [04/12/2010]

Stade olympique d’El Menzah.
ST bat ESZ par 1-0. But marqué par Maâtoug (45’).
Expulsions de Kouakou (ST) et Bouchaâla (ESZ).

ST : Jéridi, Yaken, Ayari, Zakar, Hosni, Kouakou, Ibrahima, Tej, Maâtoug (Jebnoun), Mosrati (Msakni), Kabia (Ben Ouanès).

ESZ : Ben Ayoub, Hammali, Ksaïri, Slimène, Koffi (Bhar), Jbali, Regueï (Saïbi), Diarra, Bouchaâla, Lourimi, Mhedhbi (Maâref).

Le Stade Tunisien a assuré l'essentiel en se qualifiant aux quarts de finales face à l'ESZ après une victoire de 1 à 0.

Un match disputé avec des occasions de part et d'autre. Les Stadistes, plus réalistes ont ouvert le score à la 45mn de jeu suite à une longue touche exécutée par Tej et concrétisée par un magistral et magnifique "retourné" acrobatique de Maâtoug.

Le dernier quart d'heure fut difficile pour la défense stadiste. Les Zarzisiens ont pris tous les risques et ont joué leur va tout. Jridi et Ayari ont réussi à annihiler pas moins de trois occasions franches notamment une à la dernière minute de jeu. Grâce à eux, les Stadistes ont réussi à conserver leur avance, remporter la rencontre et ainsi se qualifier pour le tour suivant.


ST-ASM 2-0 : Renouer avec la victoire [27/11/2010]

ST: Jeridi, Jebnoun (Yekin), Hosni, Zakkar, Ayari, Mosrati, Ba, Dunga, Alves (Ben Ouannès), Tej et Kabia.

ST: Jeridi, Jebnoun (Yekin), Hosni, Zakkar, Ayari, Mosrati, Ba, Dunga, Alves (Ben Ouannès), Tej et Kabia.

Après deux défaites consécutives, les Stadistes étaient sous pression. L'entame du match n'a pas été facile. Les Stadistes se sont fait des frayeurs dès la deuxième minute du match où Jridi pousse un tir marsois qui finit par toucher la transversale. Les nôtres ont essayé d'aller vers l'avant et d'attaquer mais sans danger jusqu'à la 25mn, quand Tej intelligemment adresse une passe longue dans le dos d'un défenseur et Kabia dans un face à face avec le gardien, ne rate pas l'occasion et ouvre le score. Ce but n'a pas libéré pour autant les Stadistes qui une fois encore se font des frayeurs tout seuls ! Suite à une erreur de Rami Jridi, l'attaquant marsois devant une cage vide tire sur le poteau. C'est le jour de chance du ST. En effet, à la 45mn, suite à un tir de Mosrati dévié par un défenseur le ballon se loge dans les filets des marsois juste avant la fin de la première période.

Lors de la seconde mi-temps, quelques occasions s’étaient présentées mais furent toutes ratées. L'arbitre n'a pas aidé non plus les Stadistes à tripler la mise en omettant de siffler un pénalty clair et net et en expulsant le défenseur marsois, dernier défenseur suite à une faute sur Mosrati. Les Stadistes ont su gérer la seconde mi-temps et préserver les deux buts marqués en première mi-temps. Une belle victoire pour le moral et pour la suite de la saison.


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